Politique étrangère : l'autre rupture de Fillon

« Chère Angela, en cette fin de campagne électorale, j’ai une pensée affectueuse pour toi, qui livres un nouveau combat. Avec sagesse et courage, tu as su gouverner en temps de crise et faire face à tes responsabilités européennes. » C’était il y a trois ans. François Fillon écrivait un petit mot à la chancelière allemande pour lui souhaiter bonne chance. Ce n’est évidemment qu’une coïncidence. Mais ce 20 novembre, alors que François Fillon avançait de quelques cases sur le chemin qui pourrait le conduire à l’Élysée en mai, de l’autre côté du Rhin, Angela Merkel annonçait qu’elle se présenta…